Villa des Breezmoon.

"SHIRAYUKI SAYURI, APPRENTIE FEE ! ALLEZ ALLEZ CUL SEC !"

En s'éclamant ceci la canette de bière à la main, Sayuri se demandait tout de même qu'est ce qu'ils étaient venus faire ici. A part faire la fête. Très franchement, elle s'attendait à quelque chose de bien plus sérieux. Enfin, elle devait saisir l'occasion de se faire de nouveaux amis ! Aussi, en chantant "La vie en rose" d'Edith Piaf à tue-tête, elle se résolut à profiter de la fête. Elle ne tenait vraiment pas l'alcool.

Les présentations étaient faites. Sayuri avait bien entamé les doses. Je n'hésita pas plus d'une seconde et me fit un cocktail à base de Vodka, de fraise et de citron et je rajouta un peu de rhum blanc. Le mélange était exquis. Je testa plusieurs cocktail avant de m'apercevoir que Sayuri les dévorait des yeux, je lui en tendis un qui lui ressemblait. Léger, frivole mais qu'on sentais passer dans la trachée. Elle rigolait de plus en plus, à n'importe quelle idiotie. J'avais à peine bu trois cocktail différent, trois bières, deux verres de vodka cul sec quand le livreur arriva. A mon grand étonnement mes jambes me portèrent jusqu'à la porte. J'avais encore les idées bien claire. J'ouvris la porte. Le livreur attendait, il était plutôt ridicule dans ses habits de service ce qui me donna envie de jouer. Je le fixa de mon regard de glace et d'un ton gelé je lui murmura.

[" Vous êtes en retard."]

Le livreur se fit gagner par le terreur, son visage se décomposa et il bégaya.

["Je.. Je suis... dé-désoler.. Euh... 30.50€ S'il-vous pla-plait."]

Je claqua des doigts et sorti de ma poche un billet de 50€. J'explosai de rire et lui tendit le billet.

["Gardez la monnaie mon p'tit ! Bonne nuit..."]

Je lui fit un clin d'œil mon regard toujours glacé. Il s'enfuit en courant et j'explosai à nouveau de rire. Je courus dans le salon avec les sacs de bouffe et m'exclamai :

["A taaaable !!"]

Après avoir mangé, la fête battais son plein. L'alcool coulais à flots, les rires retentissait dans la maison et la musique faisait vibrer chaque parcelles de nos corps. C'était la première fois que je buvais autant et pourtant je tenais très bien.

J'avais besoin de prendre l'air, ayant remarqué un balcon à l'étage je monta sans plus attendre. Je m'installa à l'air pur sur le bord du balcon et observa les mouvements de la rue.

Au bout de 5 cocktails, 2 vodka et 3 bières, l'envie lui vint de retrouver Mitsumichi ! Aussi le prit-elle par suprise en lui sautant dessus pour lui faire un câlin par derrière.

Elle explosa de rire et le relâcha. Là, elle lui prit la main et lui dit :

"Je veux danser la vaaaaaaaaaalse ! Je veux que tu fasses de moi une princesse ! Je veux manger des nachos ! Je veux de l'argent ! De l'affection ! Du bonheur ! Je veux que tu m'embrasses tout de suite sans plus attendre ! Je veux qu'on sorte ensemble, apprendre à te connaître ! Je reviendrais pas sur ma décision ! Dès le moment où j'ai décidé de t'avoir, tu t'es mis à m'appartenir, mon ange !"

Et là, elle l'embrassa. Quoi de plus romantique - ou nunuche, à vous de voir.

Sayuri ne savait pas trop si elle devait se réjouir ou non de la tournure que cela prenait. Elle trouvait qu'elle l'avait eu un peu trop facilement, mais d'un autre côté, la façon de faire de Mitsumichi lui plaisait. Elle se sentait bien, dans ses bras, et adorait le fait qu'il se laisse prendre au jeu. Ils s'embrassaient longtemps, tout le temps, plusieurs fois, encore et encore...
C'était peut-être à cause de l'alcool, mais elle sentait qu'elle pourrait peut-être tomber amoureuse de cet homme qu'elle venait tout juste de rencontrer. Peut-être pourrait-elle vivre une superbe romance comme elle en avait toujours rêvé avec lui ?
Elle divaguait, c'était clair. Il ne ressentait sûrement rien pour elle, elle non plus ne devait sans doute pas l'aimer - enfin, elle n'en était pas très sûre, et puis, ils avaient bu, et ça se résumait à cela.

Elle était ivre, mon dieu ! Elle ne s'entendait même plus débiter ces fades répliques romancières ! Qu'elle ne tardera d'ailleurs pas à regretter...

"Désolé Sayuri... Je ne sais pas ce qui m'as prit..."

Ca, c'était pas une phrase de personne bourrée. Quelque part, elle était profondément vexée. Il cède à ses avances, puis la rejette ? Fallait pas se ficher d'elle. Elle lui saisit la main, et il se retourna pour se retrouver nez à nez avec elle. Là, elle le cogna. Un beau coup de poingt en pleine face.

"Arrête de te la jouer ! C'était une blague ! Une blague ! Comme si j'aurais pu dire un truc aussi débile sérieusement...En plus, je suis bourrée...Enfin, c'est ma faute...C'est normal que de te parler d'engagement puisse semer le doute chez toi...Mais mettons bien les points sur les I, je suis pas amoureuse de toi, ok ?! Prend ça comme un jeu !"

Elle paniquait en débitant ça à la vitesse du son...

En s'asseyant près de lui, elle marmonna :

"...D'accord. J'insiste pas, mais...C'est pas la peine de te mettre dans cet état, tu sais ? Et puis s'il t'est impossible d'aimer quelqu'un d'autre, t'as pas de raison de t'en faire. Et puis de mon côté, c'est pareil. Ne t'inquiète pas, même si tu meurs, ça me serait égal. Quant à cette autre personne, si tu tenais vraiment à ne pas la blesser, tu ne m'aurais jamais embrassé aussi. Et je vois pas pourquoi ce genre de chose est susceptible de la toucher si vous ne sortez pas ensemble. C'est suspeeect comme tu as nié sans même que je ne dise quelque chose !"

Elle riait, à présent. Bon, elle avait menti en prétendant avoir quelqu'un elle aussi, certes mais il n'avait qu'à pas l'intriguer avec des répliques ennuyeuses du genre "J'en ai déjà trop dit". Il essayait de se rendre intéressant, ou quoi ?

Sayuri n'avait plus la tête à se souler et à profiter de la soirée. Elle ne voulait plus penser à sa mauvaise expérience avec cet autre imbécile, alors, elle n'y pensa plus.

D'ailleurs, pourquoi cette fête ? Personne ne se connaissait, ici. Un rassemblement de monstres, ni plus ni moins. En plus, elle était en train de sécher tous ses cours ! Qu'est ce qu'elle pourrait bien dire à ses profs ? Qu'elle était rentrée directement chez elle sans passer à l'infirmerie puisqu'elle avait croisé en se dirigeant vers elle quelqu'un qui pouvait la ramener ? Parce qu'elle se sentait trop mal pour y aller ? Non, c'était ridicule, comme excuse. A moins qu'elle ne s'absente durant au moins 5 jours encore. Non non non, depuis que l'année scolaire avait commencé, elle ne s'était rendu aucune fois en cours assidument, en deux jours à peine.

...C'était peine perdu. Même si elle s'évertuait à les occuper par autre chose, elle n'arrivait pas à le chasser de ses pensées, lui qui se tenait là, près d'elle, à se bourrer la gueule comme l'imbécile qu'il était.

Elle avait vraiment aimé danser avec lui. Et leurs baisers, aussi.

Après avoir rigolé une bonne heure, l'effet de l'alcool redescendit. Je me sentis pitoyable. Je tourna la tête vers Sayuri. Elle n'avait pas l'air de s'amuser. Je m'approcha d'elle, lui saisie la main délicatement et l'embrassa. Elle fut surprise mais à mon grand étonnement et pour mon plus simple bohneur elle ne me rejeta pas.

["Ça c'est pour m'excuse de t'avoir énervée."]

Je l'embrassa à nouveau.

["Et ça c'est pour euh... Mon simple plaisir !"]

Je lui souriais et la regardais tendrement. Elle me procurais une sensation nouvelle, elle m'apaisait, me rassurait, me délivrait, me noyait dans l'inconscience, sans qu'elle ne le sache.
Soudain une douleur me frappa la poitrine. Je me plia en deux sur le sol, comme une vulgaire proie. Les autres me regardaient bizarrement La douleur intensifiait. Je me leva non sans mal et me dirigea avec peine vers les toilettes de la Villa. Je me vida de mes tripes. Ce n'étais pas l'effet de l'alcool, j'en étais sûr. J'avais arrêter de vomir mais la douleur était encore présente. Je retourna avec les autres et m'affala sur le sofa. Plus j'étais près de Sayuri plus la douleur grandissait, me déchirant la poitrine.

["Ne vous inquiétez pas, ça m'arrive de temps en temps."]

C'était faux. Le lien, c'était lui à l'origine de tout ça. Je me leva et sorti sur le balcon, laissant les autres dans le salon. La douleur s'estompa et le vent se leva.

["Qu'est-ce que tu veux Mugetsu ?"]

La jeune femme sorti de l'ombre en rigolant. Elle se mit face à moi, ses yeux bleus me perçaient, elle posa sa main sur ma joue.

["Ce que je veux ? Tu doit bien le savoir..."]

Elle s'emporta dans un sourire malsain et me contourna. Elle se colla le dos contre le mien.

["Tu me déçois mon amour, nous sommes unis par le lien et tu ose le nier. Mitsu, Mitsu, Mistu, je ne vais pas être contente."]

Elle saisi mes mains et un nouveau coup de vent résonna dans les arbres. Elle se tourna et se plaça devant moi. Elle me saisit la nuque, me forçant à me baisser. Elle me vola un baiser langoureux et les ténèbres nous emportèrent. J'allais subir la pire des tortures et je ne savait pas quand j'allais revenir...

Durant cette après midi passée en sa compagnie, Sayuri vint à en conclure une chose. Mitsumichi Jigoku était un blaireau indécis ne sachant ni ce qu'il voulait, ni ce qu'il était. Elle se demandait même si le petit côté mystérieux qu'il s'était forgé n'était pas là que pour se rendre intéressant. Franchement, il se contredisait. Céder à ses avances, puis la repousser, plus l'embrasser de nouveau...Pourquoi perdre son temps avec un pareil imbécile ?
C'était à son tour de se faire désirer. Après tout, suis moi je te fuis, fuis moi je te fuis. Elle avait aussi de la fierté.

Et franchement, elle avait du mal à ne pas croire à du cinéma quant à son malaise. Le "Ne vous inquiétez pas, ça m'arrive de temps en temps" faisait aussi très blaireau. Comme s'il disait ça pour qu'on s'inquiète encore plus, même s'il refuse de se plaindre. Oui, c'était cela. Un blaireau. Ce mammifère omnivore, bas sur pattes, au pelage noir, gris et blanchâtre, qui se creuse de profonds terriers, selon la définition de wikipédia. Cet animal qui lui correspondait si bien.

Et pourtant, ce blaireau, elle le suivit. Allez savoir pourquoi, elle le suivit et le vit, apparemment frustré, tendu, se laisser embrasser par une femme qu'elle jugeait laide. Cou trop long, gros pif trop éloigné de sa bouche si fine. No, no, no. Elle ne serait pas jalouse d'une femme semblant si emplie de dédain tout en n'ayant rien d'autre pour elle que sa saleté d'influence ultra oppressante. No, no, no. Elle ne le serait pas.

Elle savait maintenant deux choses sur Mitsumichi. En plus d'être un blaireau, c'était un coureur. Il aurait du se satisfaire d'elle, pourtant, en tenant compte du fait que des tonnes de mecs auraient tout fait pour être à sa place. En plus, au bout de deux mois de célibat, elle se mettait à fatiguer dur. Elle était presque tentée de rappeler un de ses ex, mais elle ne s'abaisserait jamais à ça.

Sayuri venait de se poser un objectif. Elle allait changé ce blaireau et le faire tomber amoureux d'elle. Elle ne baisserait jamais la tête en face de lui, et ferait en sorte de devenir le centre de son univers.

Tout le monde s'amusaient, la fée et le magiciens partirent sur le balcon tout les deux, j'était seul avec la jeune femme, elle sentait...elle sentait comme moi enfin je ne parle pas de l'odeur à la quel vous pensées surement, elle sentait la même odeur que mois sous forme de léopard.
Une garou ? Nan autre chose ...
Je devrais lui poser la question plus tard car sous l'influence néfaste de quelque bouteille d'alcool fort je me mit raconter des blagues totalement idiote, Le magicien et la fée étaient redescendu. Après quelque gorgée le magicien se prêta au jeu avant d'aller vomir son déjeuner ... petite nature, il ne supportait surement, il montas à nouveau accompagner de la fée, moi je restais à nouveaux seul avec l'étrange créature, je devais lui poser la question.

- Tu n'est pas une garou, mais on dirais que tu possède l'esprit d'un animal ... donc tu est quoi ?

Cela fesait plusieurs fois que j'entendais des voix....Je cligner des yeux. Il fesait noir. oouh...ma tête...je suis où là ?? Hum...au toucher je dirais un lit. Un lit ? ah bin tient !! Bon...droite, gauche...personne. ça va. Il n'aurait plus manqué qu'un garçon se retrouve dans le lit. J'aurais bien rit. Je me redresser.... Il y avait des gens...je rouler sur le bord du lit et attérit du mieux que je peux par terre. Un garçon sur la balcon...il embrassait un fille...et une autre fille...dans la chambre qui obserait. Elle ne semblait même pas me remarquer, tant mieux. Je me remit tant bien que mal sur mes jambes. Je passer la porte...nan mais s'était qui les deux là ? Jonathan avait dis qu'il vivait seul...enfait c'est un squat... je déçandit les escalier. je m'en sortait plutot bien mais la dernière marche eu raison de moi. Je m'écrouler la tête la première sur le plancher. je gromeler et me redresser. Jonathan et encore une inconnue me fixer. Sa y est ? il a déjà une nouvelle petite amie ? Je m'approche d'elle....son odeur... Je renifle. J'aime son odeur....une odeur...a la fois de garous et des bois....elle me rapelle des souvenir cette odeur d'écorce...J'inspire a fond. Dans ma tête un véritable marteau piqeur se déchaine. Je me tourne vers Jonathan en rigolant.

- C'est ta nouvelle petite amie ??

Je m'écrouler à genoux et attrapa un verre. J'était plus à ça près,si ?? Et puis qui pouvait me le reprocher. Sa ne fait pas de mal de se souler un petit coup de temps en temps pour oublier les coucie du quotidien. je rigoler comme une pauvre folle....se que j'était en fait certainement.

La personne ne m'avait toujours pas répondu, je ne s'avais pas si elle allait le faire, mais un bruit nous dérangea, une personne était tomber dans les escalier, c'était Luna, elle nous regardaient moi et l'autre personne en grommelant. Elle se leva et s'approcha de la jeune fille pour la renifler, elle avait remarquer comme moi son odeur bizarre.

- C'est ta nouvelle petite amie ??

Nan en faite elle était juste bourrer ... en plus elle allait reprendre de l'alcool et elle riait comme une folle, je me leva en soupirant et lui attrapa le verre des mains, pas besoin qu'elle retombe dans les pommes je m'étais déjà assez inquiété pour elle comme sa ... elle semblait vouloir reprendre le verre. je le posa sur la table et tout en me dirigent vers la porte et en lui parlant sur un ton de défis je lui dit.

-Tu veux de l'alcool ok, mais attrape moi d'abord ...

J'ouvris la porte et me mis à courir comme un fou, me transformant à la quatrième fouler, je pouvais distinguer chaque choses comme avec un zoom et je sentais le sol froid sous mes pattes.

Au bout d'une heure, elle se fit à l'idée qu'il ne reviendra probablement pas.
C'est là qu'elle se retrouva tiraillée entre deux choses. Son désir de le revoir et celui de connaître la suite de Naruto Shippuden.
La logique lui imposait de rentrer chez elle et de foncer lire les scans. Cependant, son ordinateur ne fonctionnait plus. Alors, sa décision allait de soi : elle choperait Mitsumichi, où qu'il fut, quelle que soit la raison, qu'importe avec qui. Après tout, c'était l'un des deux, et elle n'avait pas d'amis à qui emprunter un ordinateur.
Elle avait beau être toujours un peu saoule, elle savait que ça n'avait rien avoir avec l'alcool. Elle souhaitait réellement, ardemment le revoir. Elle ignorait comment le retrouver, mais elle le ferait avant la tombée de la nuit. C'était son état d'esprit, à cet instant là. L'instant, où, on ne sait comment, elle se métamorphosa.

Cela lui prit exactement 10 secondes, durant lesquelles, progressivement, elle rapetissa jusqu'à atteindre une dizaine de centimètres tout au plus. Ses ailes blanches étaient celles d'un papillons, aussi de loin l'aurait-on facilement pris pour un de ces si éphémères insectes. Mine de rien, il n'empêche que son espérance de vie demeurait, à l'instar de ces bestioles, relativement éphémères.
Elle constata que ses cheveux avaient franchement éclaircis et viraient au blanc, et qu'une rose de cette même couleur avait poussé à la place de l'orbite de son oeil gauche.

Elle ignorait où elle se trouvait, et avait l'impression qu'une grande toile la recouvrait. Au bout de 10 minutes, elle réussit à s'en sortir et réalisa qu'il s'agissait de ses vêtements qui eux, n'avaient pas rétrécis avec elle. Elle subsistait alors totalement nue, aussi passa-t-elle chez elle, par la fenêtre de sa chambre, pour se vêtir des robes de princesses de ses poupées Pullips.

Comment procéder, maintenant. Elle se demandait où pourrait se trouver la poudre de crystal. Elle la désirait. Elle apparu.

Parfait. Il lui suffisait donc de formuler son souhait dans sa tête. Elle voulait retrouver Mitsu. Plus que tout.
Chose dite, chose faite.

(- Dis moi.......c'est qui ces gens chez toi ?? Des amis proches ? Tu ne m'avais pas dis que atendais des invités..... )

Ont approchaient déjà de la maison quand, elle me fit pensée que je ne connaissais ces personne que depuis ce matin, mais bon au moins il y avait de l'animation ce soir et je n'allais pas me plaindre d'habitude tout était d'un calme horrible.

(-Nan je les connais que depuis ce matin et désoler de ne pas t'avoir prévenus ... )

Elle devait me prendre pour un fou, mais elle devait s'habituer si elle voulait venir vivre avec moi, j'aime aussi beaucoup prendre des risques comme l'avait dit Irving j'était un mariole.
Nous étions arriver devant la maison, je ne voulais pas redevenir humains tout de suite alors j'entrais sous la forme d'un léopard, suivit d'un loup je partit immédiatement me coucher en boule dans le canapé devant la jeune fille avec qui je parlais tout à l'heure.

Il les connaissait à peine....ma question me paraissait maintenant idiote; Vraiment idiote..Mais évidemment qu'ils ne les connaisait pas !!!! Il entra dans la maison tel quel. Sous forme de léopard. Je marquer un temps d'arrêt.... Tout bien réflichi s'était évident... Je regarder dehors se qui rester de mes vêtements... J'était vraiment soul au point de ne pas penser que si je redevenait humaine je n'avait plus rien à me mettre dessus ? Je soupirais, il faudrais que je passe chez moi une fois ces petits invités partis. Je rentrer a sa suite poussa la porte du museau pour la refermer. Mes petites griffer cliqueter sur le parquet. je piuffer interierement... S'était tellement drole comme situation. Un loup à la maison..avec un léopard. Du jamais vu.
En arrivant dans le salon je vis que Jonathan s'était déjà rouler en boule sur le canapé Il n'avait pas peur de le salir. Je n'aurait pas l'audace de monter dessus aussi..en plus il n'y avait pas assez de place. La fille à l'odeur boisée, elle, n'avait pas bougé de sa place. Son regard n'avait rien de sympathique. Elle avait l'air morte d'ennui..rien d'étonnant. Il y avait aussi un petit agacement. Visiblement elle ne souhaiter pas vraiment être ici. Alors pourquoi n'était-elle pas partie ? Je lever le nez vers l'escalier. Les deux autres invités eux par contre s'étaient la malle. Je me coucher à côté du canapé posant ma tête sur mes pattes avant. Mes yeux bleu ne lacher pas cette fille. Son odeur se rapporcher plus de Jonathan que de la mienne en fait. Je plissait les yeux et me releva le coup.

( - Ton odeur se rapproche de la notre...mais tu n'est pas un garous n'est ce pas ? )

J'étais loin d'être experte en la matière. Quand elle tourna son regard dur vers moi je ne me démonter pas. Si elle vouler impressioner quelqu'un ici ça ne serait pas moi. Oh que non !! Cette n'avait pas l'air d'être très bavarde, contrairement à moi...qui ais la langue bien pendue. Peux être un peu trop parfois ? mais ça n'as tué personne jusqu'a présent de répondre à quelques questions.

Non...pas vraiment.... Ce n'était tout à fait le réponse que Luna attendait mais elle s'en contenterait. La jeune fille semblait plutot génée a présent. Elle se leva et dit qu'elle partait à son tour. La louve la fixer et ses yeux la suivirent jusqu'a la porte que la brune referma derrière elle, laissant un grand vide dans la villa. Ca jetter un léger froid. Jonthan devait se sentir un peu seul dans un si grand espace....voila peux être la réponse à ses invitations précipitées. L'odeur boisée d'Hikari disparue au milieu des arbres. Elle n'avait visiblement pas envie du tout de parler d'elle. Luna croisa le regard du léopard et détourna les yeux. Après tout quoi de plus normal. Tout le monde avait quelque chose à cacher. Que se soit un amour secret ou un crime comis....de la plus petite chose a la plus grande frayeur. Hikari pour une raison ou une autre n'avait pas envie de s'ouvrir à eux. Après cette petite refléxion Luna se dit qu'elle lui ressemblait peux être. Rester aimable avec autruit...vivre en société écouter les autres. Tout en poursuivant une quète secrète. Son regard croisa de nouveau celui flamboyant de Jonathan. si elle lui disait se qu'elle recherche ? l'aiderait-il ? Qui sait.... mais il allez d'abord devoir gagner sa confiance. sa ne serait pas difficile... Visiblement il n'avait rien pour le distraire et son petit chagrin le rendait touchant. Luna n'avait pas envie de se moquer....n'ayant jamais vécu une histoire d'amour elle ne savait se qu'il ressentait. Mais bon...l'amour s'était son "truc". Elle avait autre chose à faire. Pourquoi s'embêter avecça ?
Elle se remit sur ses pattes et s'étira.

(- Et bien...je crois que tout tes petits invités on pris la poudre d'escampette....)

Elle renifla et se tourna vers lui.

( - Il va falloir que je passe chez moi pour quelques affaires.....Tu m'accompagne ??)

Elle s'avançais déjà vers la porte et leva le museau. Elle plissa les yeux et réféchit un instant avant de se tourner vers le léopard qui s'était redréssé sur le canapé.

(- Tout compte fait...ce n'était pas une question...vient avec moi...en humain de préférence...je doute qu'on réussisse a ouvrir la serrure de chez moi dans cet état...)

Elle farfouilla dans son sac, fort heureusement rester entier lui et en sortie les clé. Les tenir entre ses dents...elle les jetta par terre. La sensation d'être chien lui déplaiser fortement, elle fulmina.

(- Bon alors....tu viens ?? )

ses yeux de glace se plantèrent, impatient, sur Jonathan.

Hikari était partie, laissant un énorme froid dans l'énorme Villa ... bon peut être qu'ils reviendraient, de toute façon je commençais à fatiguer, Luna me regardais, elle devait habiter ici, elle pourrais décorer sa chambre comme elle le souhaite, mon esprit se dispersais et je finit par repensée à l'ange que j'avais héberger quelque temps. Misato voila comment elle s'appelait, je me revoyais très bien sauter devant le chien/démon pour la sauver et elle était partie. La voix mentale de Luna me fit revenir dans le monde réel.

(- Et bien...je crois que tout tes petits invités on pris la poudre d'escampette....)

La louve s'était relever, je remarquais qu'elle était un peut plus petite que moi, mais bon après tout c'était la première fois que je voyais une louve transformer.

( - Il va falloir que je passe chez moi pour quelques affaires.....Tu m'accompagne ??)

Ah oui c'est vrai elle n'avait plus aucun vêtement ... on devaient vraiment être saoule pour avoir oublier ce ... "détail" . Je me redressais déjà quand Luna modifia sa phrase.

(- Tout compte fait...ce n'était pas une question...vient avec moi...en humain de préférence...je doute qu'on réussisse a ouvrir la serrure de chez moi dans cet état...)

Elle se dirigea vers son sac rescapé de sa transformation, elle arriva à tiré les clef et ne pus que les jeter à terre ... c'est bon pas la peine de s'énerver, elle me regardais déjà droit dans les yeux en me disant de me dépêcher, je montais avec un bâillement les escalier et arriver dans la salle de bain je revins à ma forme humaine. J'attrapais les première fringue qui me tombais sous la main et descendit habiller pour retrouver la louve devant ma porte.

-Aller on va chercher tes affaires et après je te montrerais ta chambre ... ah oui ne touche plus à la vodka

Cela fesait maintenant plus d'une semaine que Luna vivait dans la villa de Jonathan. Elle n'était pas retourné chez elle depuis l'autre soir. Entre le lycée et son petit boulot quelques soir par semaines elle n'avait aps vraiment le temps de s'ennuyer...mais ce weed end le jeune léopard avait décider de rendre une visite a ses parents. Il lui avait dit qu'il retreré dans quelques jours..lui laissant ainsi la maison. Le samedi alle avait domris jusqu'a presque midi...ça fesait du bien de se reposer un peu. Et puis comment ne pas apprécier son lit...il était gigantesque et confortable comme pas deux. Un vrai bonheur. En y repenssant elle avait une chance inouïe de tomber sur Jonathan le week end dernier....ce qui se passer était un peu irréel en fait. Après s'être levée le reste de la journée avait consisté a envoyer au placard illico presto ses devoirs et à grignoter devant la télé. Puis elle fit un brin de ménage....avant de retourner a cet état quelque peu végétatif.... Le nombre de fois où elle avait soupirer dans la journée ne se compter même plus. A présent elle comprenait pourquoi Jonathan se sentait si seul. Cette maison maison était bien trop grande pour y vivre sans personne. D'un côté elle en vint à penser qu'elle servait de bouche trou....mais après tout ils y trouvé chacuns leurs compte. Elle n'avait plus a payer l'eau et l'electircité de sa maison se qui lui permettait d'économiser pour un nouvel appart' et lui ne vivait plus seul.

Vers la fin de soirée après s'être fait un vrai repas..un peu sur le pouce tout de même elle entreprit de continuer la lecture du Journal. Elle s'installa sur la canapé une couverture sur les jambes. Cette lecture cela fesait un bout de temps qu'elle l'avait commencer...La vie de son grand père y était très détaillé, il ne manquer rien. Elle aurait très bien pus lire en diagonale pour tout de suite trouver se qu'elle chercher mais....l'écriture était si agréable...alors elle lisait lentement, tentant d"immaginer les scènes décrites. Tantôt d'amour, tentôt de rire où de tristesse....et enfin elle arrivait a la deuxième moitié du journal. Cela fesait une semaine qu'elle n'avait pas lus...et lire dans le salon de Jonathan..était pluôt étrange. D'autant plus qu'elle arrivait au moment de la bataille...et l'ambiance changea totallement. La description était telle que cela donner l'impression de la vivre...mais encore...toujours le nom était tus...Luna commencer a stresser...sans le vouloir vraiment. Elle voulait le connaitre ce nom...mais en même temps elle en vait peur. Que ferait-elle une fois qu'elle le connaissait ? Elle foncerait tête baisser ? Non....cela ne la menerait à rien du tout. Aller les voir et demander poliment le remède ? Oui...peux être... En tout cas elle devait faire vite... La veille elle s'était mise a tousser...et finalement du sang lui avait echapper...la salle de bain avait pris un autre aspect...Heureusment que Jonathan n'était pas là...ça aurait été une catastrophe. Au moins elle avait pus dormir et ça aller un peu mieux.

Le lendemain matin fut encoe plus ennuyeux que celui du samedi...un enfer. alors elle continua à lire..puisqu'il n'y avait que ça a faire. En debut d'après midi elle sursauta...la porte d'entrée venait de s'ouvrir dans un petit tintement. Qui était ce ?? Elle se tourna sur la canapé...et elle aperçut Jonathan. En une seconde elle fut debout. Son livre tomba au sol.... Elle se précipita vers lui.

- Jonathan !! Mais...qu'est ce qui t'es arrivé bon sang ?

Elle lui attrapa le bras et vit son visage se deformé sous la douleur. Elle l'aida à s'assoir sur le canapé et lui retira sa veste....Il était couvert de morsures. Elle ne put retenir un cri horrifié. Elle courut vers l'amoire...balançant tout sur son passage. Ou avait-il mis ses foutus bandages ?? Elle en trouva enfin. Elle courut cherhcer une bassne avec de l'eau et de serviette puis elle revint. Elle nettoya d'abord la plaie la plus profonde avec de l'eau. Qui avait bien pus lui fiare ça ? Et...il n'avait tout de même pas fait le voayge dans cet état ? En y repensant...ça ne l'étonna pas plus que ça. La logique du jeune homme lui échapper quelque peu. Elle leva les yeux vers lui.

- Et...ça va ?........Qui est ce qui t'as mis dans cet état ?

Elle prit une compresse et la passa doucement sur l'ématome de sa joue en esseyant de lui faire levé les yeux. Elle posa sur lui un regard doux. Décidement....elle était peu être destiné à s'occuper de gens malades ou blesser toute vie...

- Jonathan !! Mais...qu'est ce qui t'es arrivé bon sang ?

Luna m'attrapa le bras, la douleur ne mis pas une seconde pour monter à mon cerveau, elle m'aida à m’asseoir sur un des canapé de la villa, le moindre mouvement me fessait mal. Quand elle me retira ma veste elle laissa échappé un cris d'horreur ... c'était si horrible que sa ? surement ? Mais ce n'était pas la douleur physique qui fessait le plus mal, c'était le faite de savoir que les personnes qui m'avaient fait sa était ma propre famille ... Luna commença a appliquer une compresse sur les morsures, je lâchais un aie, je regardais la jeune fille, elle était si gentille ? pourquoi mes parents voulais-t'elle qu'elle partent ...

-La .. personnes qui ma mis dans cette état ... c'est mon père ..

Ma phrase venais de jeter un froid dans la villa. On aurai pus se retrouver congeler sur place, je repensais à l'attaque, je n'avais pas voulu lui faire de mal et quand mes cousins étaient arrivés en renfort, j'avais supplier d''arrêter, mais ils avaient continuer, ma mère elle était rester la à regarder ... je laissa échapper un rire nerveux.

-On dirais qu'ils n'aime pas que je t'héberge ...