je soupira, me voila au manoir de la famille ... je leurs avait dit que je viendrais pour le week end ... allais-je le regretter ? Oui peut être, mais bon ... en faite j'était surtout inquiet pour Luna. Sa fessais déjà quelque jours qu'elle habitait chez moi et je lui avait promis qu'on partirais camper au lac quand je serais rentrer. je poussa l’immense porte et m’engagea dans le hall ... personnes ... je montât le grand escalier pour arriver dans le corridor menant à la cuisine et au autre pièces . Ma mère était la, elle me regardais avec des yeux emplie de douceur, je souris malgré moi. Un sourire qui s’estompa presque instantanément quand mon père arriva derrière elle, avec une mine renfrogner et un grognement sourd qui provenais de sa gorge. Ma mère s’empressa de calmer le jeu en entraînant mon père à la cuisine pour qu'il prépare du thé avec elle.
J'en profita pour aller dans ma chambre, j'y retrouva cette odeur familière et tout mes meubles des mur peint en bleu qui dégageaient une atmosphère de calme, je retourna dans la cuisine ou ma mère et mon père étaient installer devant une tasse de thé , je m'assis aussi.
-Alors comment tu trouve la maison au japon ? tu aime ton lycée ? tu tes fait des amis ?
Ma mère m'avait bombarder de questions, La maison était .... trop grande ... oui j'aimais le lycée il était très bien et oui je m'étais fait des amis ... enfin on peut dire que j'avais rencontrer plein de personnes : je repensa à la louve et l'ange que j'avais accueillis chez moi et ensuite à la fête que j'avais donner puis .... à Luna, elle habitais chez moi et on s'entendais très bien
-Oui maman tout se passe bien .... j'héberge même une personne, une fille elle s’appelle Luna, Luna Shattenwind.
Les yeux de mes parents c'était écarquiller et mon père tremblait comme si il avait reçu un coup de poignard, ensuite il me cria, hurla de faire partir cette sale chienne de chez moi. Comment pouvais t'il oser dire sa .... il le payerais, je me leva et le regarda dans les yeux d'un regard noir et décider.
- NAN ! elle ne partira pas, elle est chez elle la bas ! et tu aura beau dire tous se que tu veux je ne t’obéirai pas !
Il se jeta sur moi, l'attaque fut violente, ses crocs s'enfonçais dans mon bras droit et ses griffes me lacérais le torse. Je me transforma et me jeta sur lui à mon tour, nos dents s'entrechoquais dans des claquement bruyant et deux autres léopards arrivères dans la salle certainement mes cousins .... et la je me fit mordre, griffés j'avais la chaire à vif et je me fit jeter hors du manoir à moiter contiens. Lâchant un juron je pris la route de l"aéroport hors de question de rester ici une minute de plus.